Issues de la collection de diapositives de l’artiste, les images retrouvées du coucher de Sainte Barbe viennent montrer le cycle inextricable de notre monde, la répétition continue mais toujours différente d’un même cycle. Seulement identifiable par les écritures manuscrites de son premier propriétaire, les étés à Sainte Barbe passent, s’étalent sur une quinzaine d’années. De la même manière, le geste de l’écriture fait surgir le passage du temps au sein même d’un cycle continu.